Qu’est -ce que l’abattage islamique halal ?

Selon la loi islamique, le mot arabe désignant le rituel d'abattage des animaux est connu sous le nom de Dhabihah ou Zabihah, qui considère essentiellement la viande abattue comme « halal » ou licite à manger. Il s'applique à l'abattage d'animaux halal tels que le poulet, le mouton, la chèvre, la vache, etc. Et il devient nul et non avenu lors de l'abattage d'animaux haram tels que les porcs, les chiens, les chats, etc. La méthode dhabihah ou zabihah est régie par un ensemble de règles strictes qui doivent être suivies. Les musulmans ne sont autorisés à manger que de la viande préparée et abattue conformément à la loi islamique. Cette méthode est souvent attaquée par les militants des droits des animaux comme "causant des souffrances inutiles à l'animal". Les musulmans ne sont pas d'accord et disent que la loi islamique sur l'abattage des animaux est conçue pour réduire la douleur et la détresse ressenties par l'animal.

La logique selon laquelle l'abattage halal est inhumain/cruel parce que les animaux sont destinés à saigner à mort est scientifiquement fausse et n'existe pas. L'artère carotide d'un animal est coupée en un seul mouvement avec un couteau tranchant comme un rasoir. En conséquence, l'animal perd connaissance en quelques secondes et la mort survient par hypoxie cérébrale et non par perte de sang, comme le prétendent ceux qui veulent simplement dénigrer la religion islamique sans fournir de preuves concrètes. Ainsi, les règles suivantes doivent toujours être appliquées  dans la réalisation de jambon fumé halal pour que l'abattage islamique soit considéré comme tel : le boucher doit être un adulte musulman sain d'esprit. Le boucher doit dire le nom de Dieu avant de faire la coupe. Le nom de Dieu est mentionné pour souligner le caractère sacré de la vie et pour s'assurer que l'animal est tué pour la nourriture avec le consentement de Dieu. L'animal doit être tué en coupant l'artère carotide avec un mouvement continu d'un couteau bien aiguisé. La coupure doit sectionner au moins trois vaisseaux sanguins dans la trachée.

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